informations personnelles.

(NOM) Pond. Un joli mot rond qui colle au palais. Pond. C'est écossais quoi.
(PRÉNOMS) Christopher, pour le côté anglais de la mère, Clyde, en mémoire d'un ancêtre quelquoncque du coté écossais. Ses potes l’appellent néanmoins pond, chris, ou encore cc (sisi, oui).
(AGE) bientôt dix-sept ans.
(NATIONALITE) écossais, mais sa mère est anglaise, donc un peu des deux.
(LIEU ET DATE DE NAISSANCE) 28 huit février 1947, à Aberdeen, Ecosse.

informations scolaires.

(ANNÉE) Chris entame l'avant-dernière année de l'internat.
(OPTIONS) art et histoire de l'art.
(DANS L'ETABLISSEMENT DEPUIS) chris est à l'internat depuis ses 9 ans, donc le début de sa scolarité.
(NIVEAU SCOLAIRE) c'est un bon élément, silencieux et travailleur. Il est néanmoins dans l'ombre de son frère qui, lorsqu'il étudiait à l'internat, brillait dans toutes les matières.

(A SAVOIR) → c'est un grand fana des sucettes au citron. Il mange tout les jours et n'a jamais de caries. C'est qui le chanceux ? → Il n'aime pas trop les Beatles, surtout à cause de cette euphorie que les filles ont dès qu'on parle d'eux. → Il ne parle pas beaucoup, et parle couramment le sarcasme et l'ironie. → Il n'est pas franchement quelqu'un d'agréable au premier abord. → Avec ses amis proches, c'est une toute autre personne. → Il joue avec son côté "mal-rasé" pour attirer le sexe opposé. → Son père est directeur de la succursale d'Aberdeen de la Royal Bank of Scotland. → Autant vous dire que les Pond gagnent bien leurs vies. → Chris déteste son grand-frère. → Grand-frère qui fut un brillant élève de l'internat, et qui étudie maintenant à Oxford. → Chris aime la bière du pub de Berwick. Néanmoins, ses gènes anglais se font sentir lorsqu'il apprécie un bon thé chez Mary's. → Il adore la plage, parce que peu de personne y vont en hiver. → Il est d’apparence solitaire, mais c'est aussi un gros fêtard qui ne loupe jamais une soirée. → Vous aurez beau le torturer, il ne vous dira jamais s'il fait parti d'une confrérie ou non. → C'est loin d'être un sportif : il est très nul au baseball et déteste l'athlétisme.





(ANECDOTES)
FROIDE → l'atmosphère générale de la maison des pond. Froide. Humide et froide. Stricte et rigide. Même les lumières et le feu dans l'âtre n'arrivent pas à donner un semblant de vie aux murs gris sur lesquels trônent les photos des ancêtres, moroses. Il fait tellement froid à Aberdeen, en hiver. Il pleut, il neige, jamais la nature n'a un temps de répit. Jill et Keith sont sagement assis à la table de la salle à manger, ils font leurs devoirs. Jill n'arrête pas de parler de l'Internat, elle vient d'y rentrer. Keith attaque sa troisième année, l'année prochaine il sera officiellement un élève de l'Internat. Chris, lui, attend encore de pouvoir revêtir l'uniforme. Son père ne lui a même pas laissé le choix, c'était naturel que le petit dernier rejoignent l'internat. Maman tousse silencieusement dans son petit mouchoir blanc, papa réajuste ses cheveux gominés contre son crâne. Il resserre sa cravate comme s'il désirait s'étouffer avec. Une soirée normale chez les Pond.
SILENCIEUX → comme la quasi totalité des bébés découvrant le monde, Christopher Pond hurla de tout ses poumons, là n'est pas le problème. De même, lorsqu'il fît ses dents, il était plutôt tout le contraire d'un enfant silencieux. Mais encore une fois, là n'est pas le problème. Le problème, c'est lorsqu'il aurait dû commencer à parler, il ne l'a pas fait. Ou peut-être savait-il parler, néanmoins jamais ses parents n'entendirent le son de sa voix. Son père, inquiet que son petit dernier ne soit atteint de quelques maladies -ce qui aurait été fort incommodant pour la réputation de la famille- le traîna d'expert en expert, le menaçant, le suppliant, l'implorant d’émettre un son. Sa mère, elle, ne le pressait pas. C'est comme si, en un sens, elle communiquait avec son enfant sans avoir à user du langage oral. Ce n'est qu'aux alentours de ses cinq ans qu'il se décida à émettre un son humain. Et même si on le pressa de réitérer le-dit miracle, Christopher se contentait de ne parler qu'en cas d'extrême urgence (faim, pipi, dodo). Sa soeur, Jill, était toute colère de voir cette attention portée sur un enfant qui ne parlait même pas, alors qu'elle, du haut de ses 7 ans, était une enfant remarquablement douée pour tout ce qu'elle abordait. Keith, l'aîné de la famille, tenta, lui, de nouer -sans succès- une relation avec son cadet. Christopher restait hermétique à toute tentative de familiarisation que son frère entreprenait. Il reste coi, fixant le monde des adultes qu'il semblait déjà abhorrer. Il semblait déjà avoir compris que, dans tout les cas, il passerait toujours après sa soeur et son frère dans le coeur de son père.
BAVARD → c'est lorsqu'il se fît pour la première fois des amis que Chris se décida à montrer un autre côté de sa personnalité : un garçon jovial, bavard et très amical. Ses première rencontres furent un certain Cameron Hawkes, d'un an son aîné. Un gamin cool, à l'aise, pas prise de tête. Et Alfie English, un gamin posé au nom de famille intéressant. Quoi, c'est comme si Chris s'appelait Chris Scottish. C'est d'ailleurs la première réflexion qu'ils partagèrent. Le premier rire. Et la première fois que Christopher avait l'impression d'appartenir à quelque chose, un groupe d'ami. En dehors de ce groupe, c'est comme si une différente personne le remplaçait : hargneux, antisocial, ironique et franchement pas agréable, Chris semble se méfier de la terre entière. Ses meilleurs souvenirs consistent en des soirées passées au pub avec sa bande de pote, écoutant la musique du juke-box, buvant de la bière et grignotant les bagels de la propriétaire. Un ado normal en présence de ses amis. C'est comme si il n'était confiant qu'en leur présence.
STUDIEUX → afin de rester à un niveau potable, Chris est obligé de travailler un minimum. Il n'a malheureusement pas le talent de son frère ou la hargne de son frère. Il possède de grosses lacunes dans certaines matières -l'éco et le droit, ainsi que la géographie. Sans être quelqu'un de réellement studieux, il essaye de s'imposer un minimum de travail afin de se garantir le diplôme de fin d'année. Si vous lui posez la question, il vous répondra qu'il n'a aucune idée concernant son avenir professionnel. Il est stressée rien qu'en y pensant. En entendant son frère parler d'Oxford, ou sa soeur d'Harvard, il est complètement perdu. Il lui semble que sa vie n'aboutira jamais à l'âge adulte, il est comme convaincu qu'il sera un ado jusqu'à la fin de ses jours. A fumer des cigarettes en écoutant de la musique, en buvant des bières en fumant des joints derrières l'église. Il aime ces années de chute libre.
DÉCHAÎNÉ → Chris est un fêtard invétéré. Il prévoit d'ailleurs la plus grosse fête du moment pour son anniversaire. Il semble avoir une addiction presque malsaine pour l'état fêtard, complètement pété. Il fume beaucoup et pas uniquement du tabac. Il dit souvent que la fête fait partie de ses gênes, qu'il doit faire la fête pour rester en vie. Que l'adrénaline qu'il sécrète et son véritable sang. Alors il est partout, présent à toutes les fêtes, invité ou pas. Il lui faut sa dose, quitte à ne pas se réveiller le lendemain matin. C'est plutôt marrant à voir, car souvent, il est une personne bien différente sous l'effet de l'alcool : joyeux, hyper-actif, entreprenant. Puis lorsque l'effet de l'alcool se dissipe, il devient plus calme, fatigué, pensif.
INCOMPRIS → Chris est gay. Mais ça, il ne le sait pas encore, ou du moins, il refuse de l'accepter. Ce n'est pas normal, c'est dégoûtant et ça ne devrait pas être permis. Son père le tuerait, sa mère pleurerait toutes les larmes de son corps et sa soeur l'assassinerait surement avant que son frère ait pu lui coller une droite. Bref, ce "délire" n'est qu'une condamnation à l'enfer éternel. Chris n'en veut pas, il n'a jamais demandé à ressentir ces ... sentiments. Il avait une petite amie, tout allait bien, il était presque sur d'être amoureux, bref. Et voilà qu'un démon blond déboule, martyrisé, harcelé, fracassé. Seul. Effacé. Et terriblement attirant. Quel déchéance pour Chris de ressentir cette pitié pour ce garçon, lui qui d'habite et plutôt du genre à participer aux séances d'humiliation. Mais ça, c'était quand il avait 14 ans. Ça c'était quand il avait une petite-amie et une certaines réputation de charmeur. Avant qu'il ne s'enferme dans une bulle personnelle, ne laissent entrer personne. Et surtout pas lui, pas lui et ses lèvres, et ses cheveux blonds, ses mains rêches et douces à la fois. Bref, tout sauf lui.

le joueur derrière l'écran.

(PSEUDO) vous me trouverez sur le net sous le pseudo de pumpkintree, ou stark.
(PRÉNOM) Ema, avec un seul et unique m.
(AGE) dix-sept ans.
(PRESENCE) je vais y passer toute ma vie.
(OU AVEZ-VOUS TROUVÉ LE FORUM)
(CRÉDITS) fuckyeahezrammiller - bazzart.
(UN DERNIER MOT)