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 LIFE IN LIVING COLORS (GAVROCHE)

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G. Nicolas Emerson
Be serious
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G. Nicolas Emerson

messages : 1476

❝ TAKE IT EASY ❞
côté coeur : Le coeur est pris, depuis longtemps et pour toujours, par quelque Apollon blond qui aurait donné à Nicolas son nom.
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MessageSujet: LIFE IN LIVING COLORS (GAVROCHE)   LIFE IN LIVING COLORS (GAVROCHE) Icon_minitimeDim 3 Fév - 15:10



gavroche nicolas emerson

ft. george blagden



informations personnelles.

(NOM) Emerson
(PRÉNOMS) Gavroche Nicolas
(AGE) Dix-sept ans, presque dix-huit
(NATIONALITE) Francaise par sa mère, Britannique de par son père. Cela étant dit, le bonhomme vit en France.
(LIEU ET DATE DE NAISSANCE) Un certain douze mai, à Paris

informations scolaires.

(ANNÉE) Upper Sixth Form
(OPTIONS) Arts et Italien
(DANS L'ETABLISSEMENT DEPUIS) le début de sa scolarité, à neuf ans.
(NIVEAU SCOLAIRE) Tout sauf mauvais, mais pas excellent non plus. Car Nicolas perds la tête et ses idées, car il ne rend jamais rien à l'heure et à fâcheuse tendance à ne pas venir en cours quant ennuyé par la matière.

(A SAVOIR)
Nicolas s'appelle Gavroche ▽ Gavroche fut un révolutionnaire de neuf ans, mort sur les barricades ▽ A neuf ans, Nicolas avait déjà perdu toute fois en l'humanité ▽ A neuf ans, il a rencontré celui pour lequel il a frémi ▽ Depuis, il ne s'est reconnu d'autre idole, d'autre dieu ▽ Depuis, il sait qu'il ne pourrait vivre sans lui ▽ Il boit. Trop ▽ Il boit. Pour oublier. ▽ Il veut juste oublier ▽ Oublier tout. ▽ Que le monde tourne trop vite. ▽ Que le monde tourne à l'envers. ▽ Qu'être heureux n'est pas quelque chose pour lui. ▽ Il écrit aussi. ▽ Beaucoup. ▽ Trop. ▽ Des vers jetés, comme des fragments de son âme à même le papier. ▽ Vers qu'il croit sans qualité. ▽ Il dessine aussi. ▽ Et il joue du piano. ▽ De la guitare. ▽ Et du saxo. ▽ Il ne croit en rien mais il pourrait tout ▽ Un artiste complet, à l'âme usée, à l'âme comme vieille de mille ans. ▽ Ses larmes comme des miroirs coulent trop souvent, mais il ne laisserait personne les voir ▽ Solitaire, d'une naïveté enfantine parfois, au fond, Nicolas est un paradoxe. ▽ Car Nicolas fut un jour Gavroche et que tout ceci n'est qu'un mystère. ▽ Il n'est rien loin de celui qui est sa lumière. ▽ Il n'a jamais rien été loin de lui. ▽ Et là ou il ne croit plus en rien, là ou il est sceptique de tous les dogmes, les mots de celui qui est tout sont là. Et sont la seule chose qui jamais pourrais le sauver. ▽ Paradoxe. ▽ Car là ou il ne croit en rien, il a besoin de cet autre. ▽ Paradoxe. ▽ Car là ou il ne croit en rien il a besoin de tout. ▽ De lui. ▽ D'amitié. ▽ D'amour. ▽ De valeurs qui ne sont pas celles des sceptiques, des cyniques. ▽ Car tout n'est qu'un masque. ▽ Car le jeune homme est une tour de carte trop à même de s'écrouler. ▽ Car ce qui le compose n'est pas d'eau, mais de larmes. ▽ Il est l'eau. ▽ Son amant est le feu. ▽ Mais il sourit malgré tout. ▽ Complet, quand il est dans ses bras.


le joueur derrière l'écran.

(PSEUDO) ComicStrip
(PRÉNOM) Charlee
(AGE) 16 ans et toutes mes dents
(PRESENCE) Je suis là en quasi 24/7 les gens
(OU AVEZ-VOUS TROUVÉ LE FORUM) J'ai aidé à sa création?




Dernière édition par G. Nicolas Emerson le Sam 9 Fév - 18:36, édité 4 fois
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G. Nicolas Emerson
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G. Nicolas Emerson

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MessageSujet: Re: LIFE IN LIVING COLORS (GAVROCHE)   LIFE IN LIVING COLORS (GAVROCHE) Icon_minitimeDim 3 Fév - 15:10





OU L'ON COMMENCE PAR LA FIN

EXTRAITS DE JOURNAL
Avant de créer un personnage, apprenez à le connaitre. Sachez ce que vous voulez en faire. Etudiez-le et connaissez le mieux que vous vous connaîtriez vous-même. Soyez capable de deviner ses réaction, et bientôt vous n'écrirez même plus, vous ne chercherez plus, il écrire pour vous.

Ceci était écrit dans un magazine à l'air pas trop stupide. Je l'ai emprunté à Clare pour le coup. Il me trouverait dingue, je pense, s'il voyait que j'écrivais. Mais j'en ai besoin aussi. De chaque mot, de chaque instant. Sans mettre de mot sur les choses, j'ai l'impression de me perdre. Enfin. Questionnaire idiot. Qui sait si je m'en servirais si un jour j'écris un roman. C'est stupide. Je sais pas. Je sais jamais. Je veux juste que tout ait l'air plus clair? J'en sais rien. Je crois que je vais juste le faire, et arrêter de penser pour une minute. Peut-être que ça marchera?

(page arrachée, cachée dans son matelas, dans une pochette remplie majoritairement d'aquarelles, entre deux bouteilles et quelques cigarettes. Rédigé en français)



Prénom (et deuxième prénom) du personnage, nom de famille, surnoms (pseudonymes et sobriquets)?
Gavroche. Comme le révolutionnaire de neuf ans, dans les Misérables. A croire que ses parents l'ont voulu mort avant que son âge atteigne deux chiffres. Nicolas. Comme son son grand-père maternel. Timothy. Comme son père. Et son grand-père paternel. Majorité des Emerson masculins. Emerson d'ailleurs. Un nom comme un autre. Relativement banal. Une bonne famille? Plus ou moins. Tout sauf pauvre. Ou le culte des apparences règne. Ou Emerson sonne comme Emerald. Gavroche Nicolas Timothy Emerson.

De sexe masculin/féminin? Lieu et date de naissance (jour/mois/année)?
Aux dernières nouvelles, il possède un pénis. Putain, c'est bizarre de parler de soi à la première personne. Peu importe. Masculin. Né à Paris, le douze mai 1946. La ville se reconstruit, un Emerson fornique avec une ancienne ouvrière qu'il épouse en apprenant qu'elle attends un enfant.



Adresse; rue, ville, région, pays, et comment repérer sa maison?
Non, sérieusement? Qui a écrit ce truc et pourquoi j'y réponds? Paris, France, un hôtel particulier à Montmartre. Luxueux, acheté car Camille Hélène Emerson a toujours refusé de quitter sa France natale. Le reste de l'année, il habite dans la chambre troisième, palier A de l'institut Lachlan. Toutes les chambres sont identiques, point.

A quoi ressemble sa maison, vue de l'extérieur, de l'intérieur?
A une maison. Sa chambre à une chambre d'internet. Terne, ne lui appartenant pas. Terne. Il cache tout ce qui fait qui il est dans un matelas, ne l'affiche pas au mur. Impersonnel aussi. Terne. Comme si son âme n'habitait pas ces lieux.

La couleur des yeux? Des cheveux? La taille, le poids, et les mensurations (type de physique)
Les yeux sont bleu, les cheveux bruns, trop souvent emmêlés et cachés sous un bonnet. Pas grand. Pas petit non plus. Un invisible, normal, passe partout. Il déteste son corps, son visage et tout ce qui peut le composer. Personne, jamais ne lui as dit qu'il était beau, et au fond, pourquoi et à quoi bon? Il ne l'est pas



Qualité de la voix, style de parler, expressions favorites?
La voix est rauque, la faute aux tabac. Souvent les phrases perdent leur sens, la faute à l'alcool. Il fait trop attention à sa facon de parler, après avoir surmonté un bégaiement atroce qui l'a ruiné jusqu'à ses treize, peut-être quatorze ans. Tendance fâcheuse à mélanger le français et l'anglais quand il parle. Jure en yiddish, que sa grand-mère maternelle lui a enseigné, bien que sa mère soit détachée de sa religion. Jure trop.

Caractères distinctifs ou gestuels (se ronge les ongles de la main, boite en marchant...)?
Les ongles rongés, on repassera. Son handicap est dans sa mâchoire, qu'il a fâcheuse tendance à tordre et re-tordre avant de vraiment parler. Par peur de manquer de mots, par peur de se remettre à perdre ses phrases au beau milieu d'elles mêmes. Ne tiens ses cigarette qu'entre deux doigts, d'une façon étrange, presque féminine, qu'il se reproche à lui-même.

Style d'habillement? Vêtements favoris?
Le rouge sang et le marine de l'uniforme n'ont pas tendance à lui laisser le choix. Sa cravate sera toujours parfaite, grâce à un blond adorable qui chaque matin depuis leur neuvième année lui noue avant de déposer un baiser sur son front. La veste ne sera jamais fermée, les chaussures cirées trop rarement, les poches souvent retournées.

Instruction et expérience? Les sujets où il est le plus calé, le plus mauvais? Ses sujets de discussion préférés?
On ne pourra l'avoir sur la France et son histoire. Son pays natal est son premier amour et son chez-lui, et le restera toujours. Il parle d'autres choses parfois, que de choses qui l’intéressent. Poésie, et art en général. Le Titanic, aussi, mystère encore. On ne pourra pas lui poser de colle sur le cas Jack The Ripper.



Historique de ses emplois?
Aucun, et aucun besoin d'en trouver un.

Ses objectifs de carrière?
Aucun. Sans espoir et sans futur, c'est ce qui le décrirait au mieux en seulement quelques mots.

Les parents vivent-ils toujours? Si non, quand et comment sont-ils décédés?
Légèrement morbide comme question, non? Enfin. Oui. Vivants. Mais ils doivent probablement penser que leur fils est disparu, vu la façon dont ils ont semblé l'avoir oublié. Pas un mot. Pas une lettre durant l'année. A peine un regard quand il rentre l'été. Pas même un joyeux anniversaire chaque année en Mai. Rien. C'est comme s'il n'avait pas de famille.

S'ils vivent toujours, quels sont leurs expériences et carrières?
Elle est femme au foyer, apprentie aristocrate, profitant du statut que son époux lui offre. Il gère vaguement une société familiale, qui ne rapporte rien, mais de toute facon, au vu de la fortune familiale, il n'en a pas vraiment besoin.

Qui sont les autres membres importants de la famille? (Frères et soeurs, parents adoptifs...)?
Il est fils unique, mais fut très proche de sa grand-mère maternelle avant la mort de celle-ci, alors qu'il avait six ans et demi.

Comment se porte le personnage au sein de sa famille?
Comme au sein du monde, il est invisible



Comment va sa santé en général?
Comme celle d'un adolescent aux hormones aillant la fâcheuse manie de bouillir pour un rien. Comme celle de quelqu'un qui est trop invisible pour mériter un problème quelconque.

Quel est le type de sa personnalité? Son état mental? Sa nature de base?
Fait de plus d'alcool que d'eau, personne ne sait rien de son état mental en propre, même pas lui. Perdu serait un mot parfait pour le décrire, quoi qu'il fasse de son mieux pour ne rien en montrer. Sa nature de base est d'être l'envers de la médaille, le second, le moins quand son autre est plus. Forgé de négativisme et de cynisme. Un manque humain.

Son tempérament? Son état émotionnel?
Un tempérament à son image. Un néant. Un rien. Un vide. Il ne sait pas, et pour être honnête, n'aime pas en parler.

Ses handicaps? Peurs? Inhibitions (blocages intellectuels ou affectifs)?
Tout est une peur, mais en fait pas vraiment. Car celui qui ne croit pas n'a peur de rien. Celui qui ne croit en rien vit déjà dans un néant profond, pourquoi avoir peur? Peut-être certaines restent, inavouables, vieilles peurs d'enfants, innocentes, dont il ne fera jamais part. Peur du noir, peur d'être seul, peur de ne plus savoir sécher les larmes de cette seule personne qui compte vraiment pour lui.



A quoi le personnage aime-t-il jouer?
A vivre.

Qu'est-ce qu'il aime lire? Lit-il les livres en entier ou interrompe-t-il souvent sa lecture?
S'il est une chose sacrée pour Gavroche, c'est bien l'art en général. Bien qu'il ait tendance à le préférer pictural, il sait respecter une œuvre écrite, et s'il commence un livre, il le finira toujours, généralement d'une traite, histoire de savoir ressentir les mots. La seule chose qu'il prends vraiment le temps de savourer sont des poèmes aussi divers que variés. Baudelaire surtout.

Où part-il en vacances?
Dans ses rêves.

Ses lieux favoris? Ses Cachettes secrètes?
Son lit. Qui n'est pas vraiment à lui. En fait non, pas son lit, celui de son ami. De celui qui aura toujours son cœur, et qui n'aurait besoin que d'un mot d'un seul pour l'avoir entier. Il n'a pas besoin de se cacher. N'en ressens pas d'envie. Et au pire, s'il en a vraiment besoin, l'intérieur de sa tête, quelques rêves multicolores

Que fait-il après le travail/après les cours et en fin de semaine?
Il s'applique à être un rien intéressant.



Quelle est la chose qu'il aime vraiment?
Ce qu'il aime n'est ni une chose, ni un dogme, ni même une religion. Ce en quoi il croit n'est rien de tout ceci non plus. Toutes ces choses, son espérance (quoique maigre) et son sourire se concentrent en un homme et un seul. Rien n'attire plus l'aveugle que la lumière, et c'est exactement ce qui se passe entre Clarence et Gavroche. Clarence est tout. Clarence croit. Et comme le crapaud qui regarde les oiseaux passer Gavroche ne peut simplement s'en détacher. Ils ne peut s'en séparer plus d'une minute, de peur que l'équilibre simple qui les lie ne se brise. De peur que tout s'arrête, la terre y compris. Car bien qu'opposés, ils sont l'équilibre. Ils sont un tout, et Gavroche vit pour voir son nom accolé derrière celui de l'autre. Éternel second, il n'en a rien à faire, tant que c'est à cet aimé, a ce nom adoré qu'il doit rendre des comptes. Et il le suivra toujours, comme l'âme perdue suivrait son étoile.
Nuit et lumière.
Soleil et enfer.
On n'aurait pu faire Apollon et Dionysos plus opposés.




Quelle rubrique du journal lit-il en premier?
Aucune, il n'utilise les journaux que pour ses collages.

A-t-il jamais eu des animaux de compagnie?
Jamais, non, la chose fut toujours interdite dans le manoir Emerson. Si on lui donnait le choix, il voudrait un chat. Paresseux, amateur de caresses. Ou une tortue, pour l'emmener partout sur son épaule, et toujours avoir l'air original.

Qu'est-ce qui fait rire le personnage?
Les choses les plus inutiles, les plus futiles. Les choses dont personne ne prends la peine de rire car elles devraient être sérieuse. Sarcasme et Ironie. A moins que ces douces muses ne le fasse pleurer.



Qui sont les gens qui aident le personnage? Qui sont ses amis? Pourquoi?
Il a des amis comme des noms. Il a des amis qui ne le connaissent pas en entier, car à personne il ne s'est jamais dévoilé. Juste Clarence. Il y a Clyde, aussi, bien entendu, la normalité intrinsèque et obligatoire. Normalité obligée qui le fait sourire. Il ne sait toujours pas pourquoi il le trouve attachant. Il y a Daisy, qu'il protégerait à tout prix, bien qu'il sache qu'il devrait avant tout la protéger de ses excès à lui. Elle ne le suivrait pas de toute façon. Il y a Daniel, pour la nostalgie, et le pays lointain. Il y a tous ceux là. Des noms qui se brouillent et se mélangent quand l'alcool vient. Des noms. Juste des noms. Et tu pleures. Et tu ne dis rien. Car il ne te connaissent pas. Car tu ne les laisseras pas te connaitre. Non qu'ils n'en soient pas digne, tu ne fais juste confiance à personne. Personne d'autre que lui, soleil et lune, éternité douce. Clarence.

Qui sont ceux qui se posent en travers du chemin du personnage? Quelle genre de relations entretiennent-ils avec lui?
Peu de gens le remarquent, alors pourquoi donc ceux-ci se mettraient en travers de sa route? Peu de gens savent même qui il est. Pour tous il est une ombre, celle de Clarence, son autre moitié. Et tant qu'il ne saura pas comment briller, il ne sera rien d'autre que ceci. A la rigueur il y a cette demoiselle. Roxane, l'autre lumière, qui étrangement ne peut supporter l'ombre, n'en ayant pas elle-même. Elle seule doit bien savoir pourquoi. Il ne la hait pas. Il lui est juste relativement indifférent. Il lui serait complètement si elle n'était pas constamment à s'interposer entre lui et son amant.



Qu'est-ce qui est important pour le personnage? Ses ambitions? ses rêves? Pour quoi?
Une ombre n'a d'autre rêve que de continuer d'exister. Pour ceci, la lumière dois rester à proximité. La chose est la même pour Gavroche. Son seul projet étant de rester toujours auprès de Clarence.

Quel est le genre de choses qui dérangent le personnage? les animaux domestiques le mettent-il en rogne?
Le bruit le dérange souvent. Il a besoin de son calme et de son silence pour réussir à cultiver la tempête indifférente dans son poitrail. Souvent, il ferme les yeux pour y trouver un rien négatif, un tantôt amusant. Et il est bien, dans ce rien, ou rien d'autre ne peut le déranger. Le néant. Et comme avec majorité des humains, il est indifférent face aux animaux domestiques.

Comment le personnage voit-il la vie?
Comme une obligation par laquelle il doit passer pour que celle-ci finisse.

Comment le personnage se voit-il lui même?
Dans un miroir. passage barré, griffonné, gribouillé. En somme illisible. Invisible et sans valeur.




Qui sont les héros du personnage? Qui sont ses idoles? Sur quelles personnes pose-t-il son regard le plus souvent?
Il ne se reconnait ni de héros ni d'idole. Pas en tout cas qu'il ne connaisse pas. Pas quelqu'un que d'autres considérerait grand. Son Apollon à lui est sa moitié, et c'est là la personne qu'il voit le plus, qui possède son coeur et son âme toute entière, qu'il en veuille ou non.

36- le personnage a-t-il un intérêt romantique? De l'expérience en amour?

37- Quel genre de voiture conduit-il ou voudrait-il conduire?

38- Comment le personnage est-il vu par les autres?



39- Qu'est-ce qui distingue le personnage de toute autre personne?

40- Les lecteurs vont-ils aimer ou détester ce personnage? Se rappelleront-ils de lui?



41- De quoi ce personnage est-il fier?

42- A quel propos le personnage est-il embarrassé?

43- Quelle a été la plus grande joie du personnage? Son plus grand frisson ou émotion?

44- Quelle a été sa plus grande déception?




45- Quels sont ses passe-temps préférés, ses passions?

46- Quels sont les goûts du personnage: couleur préférée, musiques, livres, films, émissions télé, nourriture, parfum de crème glacée, boisson, sports, arts, genre de personnes, personnages (livres, films...), jeux, endroits, sujets de discussion, revues, animaux, blagues, groupe de musique...?

47- Dans la question précédente, qu'est-ce que le personnage aime-t-il le moins, que déteste-t-il?



48- Ecrivez une phrase qui décrit ce personnage.

49- Dans cette histoire, que veut le personnage? Obtiendra-t-il ce qu'il veut? Comment?

50- Dans cette histoire, quel est le plus grand problème de votre personnage? Comment sa situation pourra-t-elle empirer? Comment pourra-t-elle être résolue?








Dernière édition par G. Nicolas Emerson le Mar 12 Fév - 13:57, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: LIFE IN LIVING COLORS (GAVROCHE)   LIFE IN LIVING COLORS (GAVROCHE) Icon_minitimeDim 3 Fév - 15:10





DOUZE MAI 1963

Un cadavre de bouteille s’égoutte sur le sol de marbre. Le téléphone ne sonne toujours pas. L’horloge si. Minuit. C’est comme si le musical son de la cloche de Lachlan, institut ô combien prestigieux, ne sonnait que pour rappeler à Gavroche que le délai est écoulé. Que pour une année de plus, ses parents ont manqué leur chance de se racheter à ses yeux. Et que le monde ne tourne pas dans le bon sens, et qu’il n’y a pas de raison pour qu’il soit là. Il y est simplement, et il doit le subit, quoi qu’il en coute. Le jeune homme vient de fêter ses dix-sept ans, et il a déjà perdu toute foi en l’humanité. Il a perdu foi, simplement. Il ne se reconnait pas de dieu, pense chaque dogme et chaque croyance stupide. Il ferme les yeux, soupire. Même à cet instant exact, surtout à ce moment, il n’a plus d’autre air que celui d’une épave. Epave humaine, déjà échouée sur la grève, sans espoir de renaissance, d’un nouvel idéal. Car il n’a pas d’idéal. Car rien, c’est très probable, ne pourrait lui faire croire à nouveau. C’est là ce qu’il est. Un paria comme d’autres sont des anges par défaut. Il n’a pas demandé à l’être, la vie l’y a poussé, lui insufflant sarcasme et cynisme, lui donnant l’intelligence mais rien en quoi croire. Personne pour le sortir du trou ou le temps l’a doucement laissé s’embourber.
Voilà ce qu’il est, finissant une deuxième bouteille de whiskey. Voilà qui il est devenu, celui qui fut un jour Gavroche, maintenant Nicolas. Celui qui fut tout, et qui ne fut rien. Car l’humanité est cruelle, et retirez à l’homme son soleil, il ne pourra plus rien. Retirez à l’enfant sa mère, il se laissera mourir. Retirez lui ses bouteilles et il ne pourra même plus faire rire, faire sourire, se montrer grandiloquent d’excellence sarcastique. Retirez-lui ceci, et il n’est plus rien. Il n’est déjà plus rien. Un bruit de porte dans la nuit. Des pas aussi fins que des pas de danse s’approchent sur la pierre froide. On n’allume pas la lumière, mais cet autre est la lumière. Nicolas lève les yeux, car voilà le soleil. Et le revoilà Gavroche un instant.



Il a huit ans, presque neuf. En Mai, il les fêtera, nous sommes de retour en Septembre. Ses joues sont rougies par le froid, pas par les larmes. Contrairement aux autres gamins dont c’est la première rentrée, il n’a pas pleuré de quitter les bras de son père, les jupes de sa mère. C’est comme s’il les avait quittés il y a longtemps déjà. Ils ne l’ont même pas accompagné, restés sur Paris. Il ne se demande pas même pas ce qu’ils sont en train de faire pendant qu’il range ses habits, son premier uniforme correctement. Pliés strictement, pliés tristement. Et ses yeux se baissent, il ne sait que faire. Il ne sait que dire. Il ne pourrait pas parler au vide comme il a pris l’habitude de le faire, ce ne serait que trop stupide. Inutile. Les livres autour de lui sont rangés par taille sur les deux étagères. En haut en français, en bas en anglais. Une peinture à l’huile, dix centimètres par cinq, trône comme maitresse du peu auquel il tient sur sa table de nuit, sur un livre trop long. Trop épais. Qu’il ne peut s’empêcher d’aimer. Les Misérables, Victor Hugo.
Pas de photo. La chose est impersonnelle. Il ne tient à rien d’autre de toute façon. Huit ans et déjà poussé hors d’un monde qui devrait donner l’impression de lui appartenir. Ses joues sont creusées, pourtant il est bien nourri. Il a de faux airs de fantôme, car on a oublié de le nourrir d’une chose pourtant importante à la croissance. Il a eu les protéines et le savoir, on a oublié de lui tendre l’amour. Celui d’une mère ou d’un père. Celui d’une famille qui aurait eu un tant soi peu de sens. La mère se noie dans le luxe, nouveau pour elle. Le père ne l’a pas voulu, le prends pour coupable d’avoir ruiné sa vie, car sans lui, il n’aurait pas eu à épouser cette femme impure qu’il n’a jamais aimé. Seule sa grand-mère maternelle, à qui on a laissé une chambre dans les combles, comme à une domestique, à pensé un peu à cet enfant. Mais elle est folle, ou elle l’a été et ne sait encore comment vraiment en sortir. Elle voit Dieu à son côté. Elle est vraiment tapée. Hallucinée. Elle a appris l’hébreu à son petit-fils, pourtant supposément catholique. Il a adopté cette religion, important chose aux yeux de cette seule personne qui ait jamais voulu lui donner de l’affection. Après tout que faire d’autre ? Il s’est voué cœur et âmes à cette vieille aux idées déjà perdues. Avant de la perdre elle, quelques semaines avant son entrée à l’internat. Non, vraiment, il n’a pas versé une larme, même dans le train entre Paris et Londres. Ni même dans celui l’emmenant de la capitale Britannique à Lachlan. Pas une larme. Pas un soupir. Le gamin instable à appris à ne plus rien exprimer. A ne plus rien ressentir. Son cœur est déjà brisé après tout, pourquoi faudrait-il le remplir d’autres maux ?
Il s’installe sur son lit, balançant les jambes d’un air absent. Ses yeux courent partout, comme hallucinés, examinant la chambre encore à moitié vide. Il attend. Il a peur. De quoi ? Il ne le sait pas lui-même. Il n’a personne après tout, et n’a jamais rencontré personne qui aurait voulu de lui. Pourquoi appréhender la venue de celui qui partagera sa chambre quand il devine qu’il sera comme tous les autres, très probablement. Peut-être, qu’à ce moment il lui restait encore quelques douces illusions avec lesquelles il se berçait, pour s’endormir le soir venu. La porte grince enfin, il saute à bas du lit.
Gavroche laisse tomber ses yeux, faisant mine de remettre un blazer bleu à l’écusson rouge en place sur son cintre. Tout est au carré. Et son esprit est vide. Quand il se retourne, un autre gamin lui fait face. A bout de souffle, à bout de nerfs, larmes toujours au coin des yeux. Blond, légèrement plus grand que lui, à peine. Ils pourraient rentrer tous les deux dans la malle qu’il traîne dans son sillage. Sa voix est presque sèche quand il commence. Comme un gamin tellement soucieux de respecter le protocole des adultes qu’il s’en invente un autre. « Bonjour. Je suis Clarence Landsbury. » La voix est douce, fine. Mais sèche, manquant presque d’émotion. Gavroche ne sait ou se mettre. Il sourit malgré tout. Peut-être que l’autre, nouvel arrivant inondant la pièce de lumière se sentira mieux s’il se montre gentil. Mais il est toujours gentil. Foncièrement gentil, foncièrement naïf. « T-T-Tes yeux… Il-Ils s-sont r-rou-rouges… C-Ça v-v-va ? » Il baisse les yeux. Ce bégaiement affreux ne le quittera donc jamais, quoi qu’il puisse tenter. Il hésite, sortant un mouchoir de soie de sa poche. Mouchoir brodé d’un G majuscule, comme un autre. Révolutionnaire mort à neuf ans. Comme lui. Qui naît en ce jour. « Ga-Gav-Gavroche. C-C’est moi… » L’autre baisse les yeux. Le geste est futile, moins d’une seconde. Le geste ne devrait rien dire. Il nie en bloc. « Non. Ils ne le sont pas. Je ne pleure pas »[/color] Ses phrases ne sont pas celles d’un enfant. Ses phrases ont l’air aussi travaillées qu’il l’a été avant d’arriver. Dressé à se battre, pas à ressentir. Il attrape le mouchoir malgré tout, ne pouvant s’empêcher d’autres mots. « Tu as un nom étrange… » Nom français. Unique en son genre, car même pas en usage dans son propre pays. Un nom de l’époque Napoléonienne. Un nom qui ne lui ressemble en rien.
Finalement, Clarence bouge, alors qu’il réunit enfin les mots dont il avait besoin pour lui répondre. « T-T-Tu as l’air t-t-tr-tri-triste… Et-Et c-ca… Ca v-vient d’un liv-livre… » Son anglais est encore un peu hésitant. Il n’est venu que quelques fois à Londres avec son père, il vit Paris la plupart du temps. Mais s’il ne bégayait pas son accent serait parfait. Tout serait plus fluide. Il se débrouillerait bien même. D’ailleurs, pour la première fois, quelqu’un qui le rencontre ne commence pas la conversation par une remarque désobligeante sur son défaut de parole. Le soleil ouvre sa valise maladroitement, après l’avoir posée sur son lit. « Je ne le suis pas. » Catégorique, alors qu’il baisse les yeux. Gavroche croit y déceler une larme, qu’il essuie bien vite. « Ma cousine me manque. Elle s’appelle Roxane » Il se concentre sur autre chose, prenant son temps pour replier parfaitement le mouchoir après s’être essuyé les yeux. Comme s’il n’osait affronter le regard du plus petit pendant une seconde. « Gav-Gavoce ? Vosse… » Son nez se plisse d’une façon qu’on pourrait qualifier d’adorable sur un enfant de cet âge, qui aurait pu paraitre dédaigneuse. En fait il n’est ni l’un ni l’autre, juste un peu perdu face à cette langue étrange, nouvelle. Il semble se concentrer en entendant mieux ceci dit, un léger sourire illuminant son visage, irradiant Gavroche aussi. Comme si à cette vue quasi-divine il ne pouvait s’empêcher de sourire lui-même. « Quel livre ? »
Ils parlent encore un peu. Ils parlent plus. De la-dite Roxane dont la simple mention illumine Clarence. De ce nom. De ce livre que l’anglais n’a pas lu, mais voudrais lire. De la chance que Gavroche a de connaitre le français comme l’anglais. De cette école qui tous les deux, quoi qu’ils puissent en penser les effraie un peu. Et c’est tout naturellement qu’après un temps, comme un gamin rencontrant quelqu’un qui pour la première fois donne l’impression de vouloir faire attention à lui. De ne pas le trouver inutile, ou différent. Tout naturellement Gavroche sourit quand il recommence. « On peut être amis ? » La réponse semble évidente. Elle devrait l’être. Mais son regard touche le sol quand l’autre répond. « Mais je ne sais pas dire ton nom ? »[/color] Gav ne répond pas. Il n’y a rien à répondre. Encore une fois, il est renvoyé d’où il venait. Encore un espoir brûlé avant son premier envol. Clarence lui rends enfin son mouchoir. « Désolé… » Et il en a vraiment l’air. Désolé, dévasté, comme si il aurait vraiment aimé pouvoir lui donner plus. Pouvoir répondre oui. Mais les convenances lui auront dicté qu’on n’est pas amis avec celui dont on ne connait le nom, et son esprit d’enfant l’aura un peu déformé. Quelques secondes passent. Il semble hésiter. Pourtant, il pose sa main sur la joue du plus jeune, comme pour le forcer à le regarder. A lui répondre. « Tu as un deuxième prénom ? » Une larme coule le long de la joue de Gavroche, se perdant entre les doigts de Clarence. Il acquiesce, en un mouvement à peine perceptible. « N-Nic-Nico-Nicolas… » Le bégaiement ne se fait que pire quand l’enfant est sous l’emprise mauvaise de ses émotions. Mais son soleil sourit, enfant d’Apollon, et essuie doucement sa joue. « Je t’appellerais Nicolas alors. C’est plus simple. » Pas d’autre larme. Nicolas, car c’est maintenant son nom, sourit aussi. « Je te promets que je ne serais jamais méchant, et que je ne t’oublierais jamais » Et ses joues pourraient exploser sous l’emprise de son sourire à l’écoute de ces quelques mots si simples que jamais personne n’aurait pensé lui dire. Que jamais il n’aurait vraiment entendu sans Clarence.
Cette nuit-là, un blond de neuf ans pleure entre ses draps. Pleure toutes les larmes de son corps, la faute à un cauchemar. Cette nuit-là, quelqu’un se glisse entre ses draps pour le serrer fort, et sécher ses larmes. Apollon murmure que les hommes ne sont pas censés pleurer. Peter Pan, plein de naïveté sage lui répond simplement qu’être ici veut dire qu’ils ont le temps d’apprendre à être des hommes. Et du temps est tout ce dont ils ont besoin.


La tête de Nicolas est posée contre l’épaule de celui qui est son Apollon. Tous les ans, il subit ce jour sans appel. Le seul jour où il s’autorise un peu d’espoir. A chaque fois il regrette. A chaque fois les larmes l’emportent. A chaque fois son ami et là pour recoller les morceaux.

a suivre danceeeeee





Dernière édition par G. Nicolas Emerson le Mar 12 Fév - 8:57, édité 2 fois
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Elle va encore nous pondre un roman olalala
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... Je... Je ne peux pas nier.

-j'ai quatre pages word déjà-
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Quoi? C'est le fait que j'en sois pas à la moitié qui te fais sortir les yeux de leurs orbites sweets? sherlock
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Les gens vont-ils avoir le courage de te lire jusqu'au bout? Vais-je en avoir le courage? Ô, donnez-moi la force OHH
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Sors, vilaine. Ou je te manges. -sachant que, ouais, les quatres pages ont pas un format classique d'anecdotes aussi, donc ce sera probablement plus simple/ludique à lire vu que c'pas un pavé non plus- LIFE IN LIVING COLORS (GAVROCHE) 2145509071
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