informations personnelles.

(NOM) Broderick comme le nom du paternel qui n'hésitait pas à défaire sa ceinture pour lui donner des coups dans la réserve à l'arrière de la maison.
(PRÉNOMS) Wilburn comme son père, c'est la tradition dans la famille et comme deuxième prénom Ceyhan, celui de son grand-père.
(AGE) Seize ans et demi.
(NATIONALITE) Anglais de pur souche.
(LIEU ET DATE DE NAISSANCE) Édimbourg, Ecosse + 4 Décembre 1948. La folie d'après guerre avait emprunt le couple à copuler

informations scolaires.

(ANNÉE) LOWER SIXTH FORM, il entame sa troisième année d'internat.
(OPTIONS) Histoire de l'art & Mathématique supplémentaire.
(DANS L'ETABLISSEMENT DEPUIS) Il est dans l'établissement depuis qu'il a quinze ans. Il a intégré la onzième année directement.
(NIVEAU SCOLAIRE)
Il a un assez bon niveau scolaire, mais uniquement lorsqu'il s'en donne la peine. C'est intérieurement un gros flemmard et il se repose beaucoup plus sur ses acquis des années précédentes que sur l'ambition qu'il a à obtenir son A-Level.
(A SAVOIR) Il a toujours été plutôt réservé, il déteste se montrer en publique ou même se sentir observer. Il s'irrite très facilement et ce sent toujours critiqué ∞ Il apporte une grande importance au détail, car ce sont ceux-ci qui font les plus grandes choses, comme dirait sa mère. ∞ Il voudrait tant bien que mal d'essayer de vivre au jour le jour mais il n'y arrive pas, il se sent obligé de vivre et de retourner sans cesse dans son passé pour analyser les choses et chaque instant qu'il passe. ∞ Il a toujours été digne de confiance, on le dit très observateur et beaucoup de personne aime se reposer à ses côtés, il est plus facile à vivre qu'il ne se l'imagine lui même. ∞ Parmi toutes les choses qu'il sait faire, il s'est toujours fait remarqué par sa façon de danser, sans jamais avoir appris à danser il a toujours su s'enflammer dans les quelques bals ou thé dansant qu'il a déjà fréquenté. ∞ Sa mère lui fait toujours la remarque que ces yeux sont d'une profondeur magnifique, rêveur, poétique. La gente féminine aussi. ∞ Depuis tout petit il s'invente son propre monde, trouvant sa vie déprimante et souffrante il s'imagine toujours avoir vécu dans des mondes imaginaire ou la vie n'a aucune contrainte. Il est très imaginatif ∞ Si vous lui demandez d'où il vient ou ce qu'il fait : il ne vous répondra pas qu'il est née dans une grange familiale en périphérie d’Édimbourg, mais qu'il a gravie les plus hautes montagne de l’Himalaya, traverser les plus grands océans, déchainer les plus grands désert, il vous raconteront ses nuits autour d'un feu de camp au Canada et le jour où il du manger des insectes sur une ile déserte de l'océan pacifique. ∞ Cependant la difficulté le rebute, il déteste qu'on le contredise et s'énerve, devient exigeant, voire agressif lorsqu'on le pousse à mettre un pied sur terre ∞ Ceyhan est plus sensible que la plupart de tous ceux qui l’entoure, et de la plupart des hommes ∞ Parfois il est attiré par certain garçon sans vraiment savoir pourquoi, il n'a pas eu une éducation très ouverte. Ses parents était eux-même réservés.




(HISTOIRE LIBRE) Il marchait, il courait. Ses pas laissaient des halos de fumée derrière lui. L'eau vaguait à son passage, alors il courait encore plus fort. Encore pus vite, il ne voulait plus s'arrêter. Il cherchait la sortie. La boîte noire était immense, elle n'avait ni mur, ni plafond. Il commençait à avoir peur. Son sourire s'était caché. Il semblait s'être renversé. Ses pas étaient de plus en plus lourds, il courait de plus en plus vite. Mais les ténèbres ne s'arrêtaient pas. Les vagues grandissaient à chacun de ces appels. Il appelait sa mère. Il pensait l'appeler, mais ces cris ne lui parvenaient pas. Il ne s'entendait plus. Il poussait aussi fort qu'il le pouvait sans pouvoir demander de l'aide. Les vagues grandissaient encore. Il s'arrêta un instant pour faire demi-tour. Il avait certainement pris le mauvais chemin. il bifurqua sur la gauche. Peut-être qu'il trouvera enfin cette porte. Il écouta le silence, il espérait pouvoir entendre le bruit de ses pas. Mais ses oreilles avaient disparu. Il n'avait que le toucher pour sentir le sol humide sous ses pieds.Il tomba sur le ventre. Ses pauvres mains noueuses n'avaient même pas réussi à amortir sa chute, ses muscles avaient lâché. Il courait depuis si longtemps qu'il n'avait pas eu le sentiment d'être fatigué. Alors allongé au sol, le corps huilé par l'océan sous ses yeux. Il se laissa aller. Derrière lui, la vague s'était encore amplifié. Il relâcha ses muscles qui ne demandaient plus que ça, il relâcha ses paupières aussi. C'est là qu'il perdit la vue. Il avait essayé de rouvrir les yeux une dernière fois mais il n'en avait plus. Il avait voulu crier de peur à présent, mais il n'avait plus de bouche, plus de quoi se plaindre, plus de quoi hurler. Il ne sentait plus que les coups sur son corps endolori. Il baignait dans la vase. On venait de le pousser pour lui faire comprendre qu'il ne valait guère mieux que dans ce qu'il pataugeait. La vague l'avait submergé. Et il lui crachait dessus, il lui crachait ses injures. Il lui hurlait ses blessures de guerre. Son paternel lui arrachait les cheveux pour lui faire comprendre à quel point il avait souffert lui-même d'avoir tué des hommes par milliers. Il déboucla sa ceinture encore une fois. Et fendit l'air du bruit strident qui venait déchirer la peau de Ceyhan. Il n'arrivait plus à crier, il ne le pouvait plus. Il subissait, la vague l'avait rattrapé il n'aurait pas dû faire demi-tour.
Mais il s'éleva une dernière fois, il courut encore plus vite quand dans la pièce noire. La vague avait disparu, il sentit juste le fer rouge qu'on lui avait déposé sur sa peau fragile. Le vide s'était transformé en paysage, malgré la nuit qui voilait les collines à l'horizon. Il suivait chaque lumière qui provenait des longs poteaux parsemés sur le bord de la route, sans faire attention au caillou qui pénétrait la paume de ses pieds. Il respirait, il aspirait une énorme bouffé d'air. Son cœur s'était remis à battre, il n'était plus figé par l'angoisse. La légère brise lui fouettait le visage et faisait voler ses quelques cheveux encore humides et remplis de crasse. Il était libre et heureux. Le long des lumières il avançait, espérant trouver son nouveau refuge. Il pouvait continuer à courir maintenant, aligné chaque pas sans tomber. Il était en sécurité


Elle lui avait dit que c'était pour son bien, il lui avait rétorqué qu'il venait de perdre tous ses amis. Il lui en voulait. Elle avait quitté son père, elle avait fui avec son enfant. Il était devenu trop dangereux. Elle devait quitter ce village près d'Édimbourg, elle a trouvé Berwick-upon-Tweed. Et Ceyhan n'a pas eu le choix. Il savait très bien qu'il aurait dû s'enfuir définitivement cette nuit-là, mais quelque chose le retenait. Son ami d'enfance, sa chambre, son nouveau vinyl des Skyliners qu'il avait eu tant de mal à s'acheter. Sa mère lui donnait tellement peu d'argent de poche. Elle était si pauvre mais elle a tout de même voulu qu'il aille dans cet internat. Dans ce maudit lieux. Avec ce fichu directeur et même cette salle mégère qui ne se prive pas de lui offrir des coups de balais sur ses plaies encore béantes. Elle s'est mis à sourire, à faire pivoter légèrement sa tête et faire battre ces cils. Mettre en valeur ses fossettes qu'elle s'avisait de maquiller chaque soir pour sortir dans ce bar au coin de la rue. Elle rentrait très tard. Ceyhan faisait sa propre loi à la maison, elle lui ordonnait dans le vent. Elle rentrait toujours tard, Ceyhan dormait depuis longtemps. Elle faisait ça pour son fils. Certains hommes la saouler, ça lui rapportaient encore plus d'argent. D'autres la frappaient et elle devenait riche l'espace d'un soir, même si parfois elle devenait la plus pauvre, souillé. Miss Payton, de son nom de jeune fille, ne disait jamais rien à Ceyhan mais il savait tout ce qui se passait. Il avait entendu parler les voisins à ce sujet. Tout le monde savait tout. Mais elle restait fière car elle donnait la meilleure éducation à son fil pour qu'il devienne fort et grand. Il avait une mère exceptionnelle.

le joueur derrière l'écran.

(PSEUDO) .Reed/.ReedNight/.Lithium
(PRÉNOM) N'y'en ai pas
(AGE) 18 ans ( et demi )
(PRESENCE) Autant que je peux x)
(OU AVEZ-VOUS TROUVÉ LE FORUM) Bazzart est tous notre ami.
(CRÉDITS) Holocène et Tumblr.
(UN DERNIER MOT) Nya !!! j'adore juste le thème, le contexte, 1964, j'suis au paradis ? non ? Pourtant ça y ressemble Puis nyahhh c'est mon icone que vous avez utiliser comme base pour le formulaire